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Direction

Le Dr. Doyen est professeur au Département des sciences des aliments de la Faculté des Sciences de l’agriculture et de l’alimentation de l’Université Laval depuis 2014. Sa programmation de recherche vise à déterminer l’impact des procédés de transformation conventionnels et émergents sur les caractéristiques physico-chimiques des matrices alimentaires. Le Dr. Doyen et son équipe œuvrent également à développer des stratégies novatrices pour favoriser l’extraction, la concentration et la purification de biomolécules d’intérêt pour le secteur bioalimentaire. Plus récent, le Dr. Doyen développe plusieurs initiatives de recherche visant à comprendre les mécanismes d’interactions protéiques de divers matrices alimentaires conventionnelles (lait, œufs) et alternatives (insectes comestibles, lait humain et légumineuses) via l’application de divers traitements thermiques et non-thermiques.

Les membres actuels de l'équipe sont:

Fikri, Sherazade

Étudiante au doctorat

Université Laval

Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels (INAF)

Centre de recherche sur les produits laitiers (STELA)

Expertises

Jus de canneberge Biofilms Métagénomique Microorganismes Ultrafiltration Traitements préventifs Osmose inverse

sherazade.fikri.1@ulaval.ca

Années de service

2019 à 2024

Formation académique et professionnelle

Baccalauréat : Microbiologie, Agrobioscience et Biologie des systèmes

Maîtrise : Biotechnologies - Diagnostic Microbiologique

Doctorat : Sciences des aliments, Université Laval, en cours.

Publications

2 publications les plus récentes

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Information complémentaire

Le Canada est le second producteur de canneberge après les Etats-Unis. Le processus de fabrication du jus de canneberge fait intervenir des étapes de clarification (ultrafiltration) et de concentration (osmose-inverse). L’inconvénient majeur des systèmes baromembranaires est l’apparition de colmatages chimique et microbiologique. Ce dernier n’a jamais fait l’objet d’étude. De ce fait, les objectifs de ce projet visent à étudier et caractériser la flore responsable du colmatage grâce à une approche de métagénomique et à comprendre l’effet des matériaux membranaires afin de proposer des stratégies de prévention ciblées à l’échelle industrielle.